THIS IS LIKE ART SOMETIMES

THIS IS LIKE ART SOMETIMES

Exposition du collectif Very High Stuff au Dojo lors du festival ovni 2021 à Nice

L’évolution et la mutation des pratiques artistiques, autant que les remises en questions ou les transgressions opérées par les artistes, n’ont eu de cesse de redéfinir ce qui appartient au champ de l’art. Et la vidéo, comme tout autre médium, n’échappe pas à ce mouvement.

Mais, depuis que le matériel de captation est devenu accessible aux finances de chacun, ce secteur s’est largement démocratisé. Et il n’est pas toujours facile pour le public de s’y retrouver face à une production considérable d’œuvres ou d’images qui proviennent aussi bien de professionnels, d’amateurs, d’artisans, d’artisans-artistes, d’artistes-amateurs ou encore d’amateurs-artisans…

L’accès à l’art s’est également considérablement démocratisé. Notre dépendance récente aux écrans de toutes sortes a même accentué ce phénomène de confusion.

Entre les plateformes de diffusions qui proposent sans cesse de nouveaux contenus, la compétition entre les institutions virtuelles ou réelles, ou encore les partages multiples sur les réseaux sociaux, il est difficile pour le non initié de s’y retrouver.

Notre exposition a pour projet de questionner ce chaos d’un nouveau genre, à travers une sélection d’artistes interrogeant ou jouant avec les nouvelles frontières de l’art dit vidéo

Projet d’exposition réalisé par: Axelle Terrier, Jérémy Griffaud, Marie Pellegrino, Laurie Camous et Julien Rebour.