MAYLIS DU BOT, MEMENTO HOMO

MAYLIS DU BOT, MEMENTO HOMO

CHRONIQUE D’ATELIER / MEMENTO HOMO
PAR MAYLIS DU BOT
DANS LE CADRE DU COURS « DÉPLACEMENT » DE JEAN-PIERRE CASTEX , ANNÉE 2021-2022, ISDAT TOULOUSE

CHRONIQUE D’ATELIER / MEMENTO HOMO
PAR MAYLIS DU BOT
DANS LE CADRE DU COURS « DÉPLACEMENT » DE JEAN-PIERRE CASTEX , ANNÉE 2021-2022, ISDAT TOULOUSE
CHRONIQUE D’ATELIER / MEMENTO HOMO
PAR MAYLIS DU BOT
DANS LE CADRE DU COURS « DÉPLACEMENT » DE JEAN-PIERRE CASTEX , ANNÉE 2021-2022, ISDAT TOULOUSE
CHRONIQUE D’ATELIER / MEMENTO HOMO
PAR MAYLIS DU BOT
DANS LE CADRE DU COURS « DÉPLACEMENT » DE JEAN-PIERRE CASTEX , ANNÉE 2021-2022, ISDAT TOULOUSE
CHRONIQUE D’ATELIER / MEMENTO HOMO
PAR MAYLIS DU BOT
DANS LE CADRE DU COURS « DÉPLACEMENT » DE JEAN-PIERRE CASTEX , ANNÉE 2021-2022, ISDAT TOULOUSE
memento homo	, monotype, impressions de poussière, A1, 2022
memento homo, monotype, impressions de poussière, A1, 2022

j’essaie de réaliser des pièces qui capturent les concepts d’espace et de temps afin de questionner notre approche au monde. ici, il y a ce rapport entre micro et macro qui me fascine et m’entraîne vers des considérations cosmologiques.

poussière, galaxie, instantané, révélateur.

en déposant de la poussière sur mon support encré, l’impression laisse apparaître ces images constellées.
l’espace de l’atelier avec sa poussière appelle un autre espace, imaginaire ou prophétique.

la mise en relation de la petitesse de la poussière avec l’immensité de l’espace suggère une réflexion sur le cycle et c’est en proposant cette lecture cyclique que je souhaite amener la notion de temps dans ma pièce. finalement, existe-t-il un référentiel de valeur fixe et infini ou serait-ce plutôt un système variable selon le temps qui change tout objet ?

le choix du grand format est arrivé pour accentuer l’intensité des amas. la poussière, effet produit par le désintérêt, communément considérée comme insignifiante, devient ici le sujet, l’objet important auquel on s’intéresse. elle s’habille d’une grandeur, presque d’une prestance de part l’analogie visuelle avec la puissance de l’univers.