LIONEL BAYOL-THÉMINES, LOW SPACE ODDITY

LIONEL BAYOL-THÉMINES, LOW SPACE ODDITY

Lionel Bayol-Thémines, Milky Way, 5 modélisations 3D de la voie lactée selon plusieurs sources de télescopes utilisant des longueurs d’ondes différentes (ondes radio, rayon X, Gaz line, infra rouges, optique).
Sources : Centre de documentation spatiale (CDS), Aladin
Impression transparente sur verre acrylique 190 x 120 cm.

FOCUS / Sur le Projet Low Space Oddity de Lionel Bayol-Thémines à l’occasion de l’exposition  Supplementary Elements qui dévoile 17 oeuvres à ciel ouvert jusqu’au dimanche 22 mai 2022 sur le Campus universitaire de Strasbourg

LE PROJET LOW SPACE ODDITY

associe de manière transversale l’équipe de recherche du Centre de Données astronomiques de Strasbourg, de l’Observatoire Astronomique de Strasbourg (CDS), via la plateforme Aladin et des images glanées sur le net. Ce projet propose une expérience spécifique autour de la représentation de ces espaces, nouveaux paysages spatiaux. Qu’est ce qu’un paysage aujourd’hui, à l’heure où de nouveaux outils permettent la captation d’images du ciel profond, où des sondes sont envoyées au plus prêt des corps à étudier, où l’utilisation de l’intelligence artificielle modélise par le calcul informatique ces nouveaux espaces ?

Ces données, sans cesse augmentées, peuvent-elles donner lieu à de nouvelles formes de représentation du territoire spatial ? Quels rôles jouent les algorithmes et les outils d’analyse et de reconstruction dans la fabrication de ces nouvelles réalités ? Comment ces images issues du calcul d’une IA, se superposent aux images dites « réelles » fabriquées par un opérateur et finissent par synthétiser de nouvelles perspectives de représentation ? Low Space oddity interroge les flux de données issues des images captées par des télescopes et des sondes dédiées à l’exploration spatiale au travers de différentes plateformes ou interface dédiées au stockage de ces images (Aladin, Google Earth, Nasa Eyes …).

L’ensemble des images qui constituent ce projet est fait par le prisme de la capture d’écran, (pratique pauvre de la photographie). Low space oddity nous interroge sur le régime de la vraisemblance de ces nouvelles photographies, sur leur matérialité et leur capacité à documenter ce nouvel espace. À rebours de la vision euclidienne traditionnelle caractéristique du monde occidental, ce projet questionne le « paysage » en tant que construction culturelle et explore sa complète remise en cause par le numérique et les nouvelles techniques de captation et de modélisation.

Lionel Bayol-Thémines, Rayogrammes numériques Univers profond d’après le télescope Hubble Sources: Cente de documentation spatiale de strasbourg (CDS), Aladin Plusieurs ensembles typologiques, naissent à partir de ces nouveaux outils d’analyse et de classement, nous permettant d’entrevoir de nouvelles formes de représentation du paysage.
Lionel Bayol-Thémines, Rayogrammes numériques
Univers profond d’après le télescope Hubble
Sources : Centre de documentation spatiale de strasbourg (CDS), Aladin Plusieurs ensembles typologiques, naissent à partir de ces nouveaux outils d’analyse et de classement, nous permettant d’entrevoir de nouvelles formes de représentation du paysage.
Lionel Bayol-Thémines, Planets Planet interroge la problématique de la définition des images et de leur pouvoir de représentation du réel. Planet emprunte des modélisations de planètes et d’exoplanètes proposées par la Nasa et les révèle à la définition minimale de 1 pixel par pouce. Dans l’installation proposée, la terre, au centre, est entourée de la représentation de 8 exoplanètes possible. 187 cm x 150 cm
Lionel Bayol-Thémines, Planets
Planet interroge la problématique de la définition des images et de leur pouvoir de représentation du réel. Planet emprunte des modélisations de planètes et d’exoplanètes proposées par la Nasa et les révèle à la définition minimale de 1 pixel par pouce. Dans l’installation proposée, la terre, au centre, est entourée de la représentation de 8 exoplanètes possible. 187 cm x 150 cm
Lionel Bayol-Thémines, Planets Planet interroge la problématique de la définition des images et de leur pouvoir de représentation du réel. Planet emprunte des modélisations de planètes et d’exoplanètes proposées par la Nasa et les révèle à la définition minimale de 1 pixel par pouce. Dans l’installation proposée, la terre, au centre, est entourée de la représentation de 8 exoplanètes possible. 187 cm x 150 cm
Lionel Bayol-Thémines, Planets
Planet interroge la problématique de la définition des images et de leur pouvoir de représentation du réel. Planet emprunte des modélisations de planètes et d’exoplanètes proposées par la Nasa et les révèle à la définition minimale de 1 pixel par pouce. Dans l’installation proposée, la terre, au centre, est entourée de la représentation de 8 exoplanètes possible. 187 cm x 150 cm
Lionel Bayol-Thémines, Space dominos Cartographie de parties: du ciel profond Sources Télescope Hubble, Cente de documentation spatiale de strasbourg (CDS), Aladin Polyptyque de 16 images 100 x 70 cm format global, 400 cm x 290 cm positionné au sol. Space domino est une formalisation graphique du jeu de domino, réalisée à partir de captations de différentes régions du ciel profond. Associées de manière aléatoire, dé-contextualisées de leur statut scientifique, ces images proposent un paysage, une cartographie imaginaire.
Lionel Bayol-Thémines, Space dominos
Cartographie de parties: du ciel profond Sources Télescope Hubble, Centre de documentation spatiale de Strasbourg (CDS), Aladin Polyptyque de 16 images 100 x 70 cm format global, 400 cm x 290 cm positionné au sol.
Lionel Bayol-Thémines, Space dominos Cartographie de parties: du ciel profond Sources Télescope Hubble, Cente de documentation spatiale de strasbourg (CDS), Aladin Polyptyque de 16 images 100 x 70 cm format global, 400 cm x 290 cm positionné au sol. Space domino est une formalisation graphique du jeu de domino, réalisée à partir de captations de différentes régions du ciel profond. Associées de manière aléatoire, dé-contextualisées de leur statut scientifique, ces images proposent un paysage, une cartographie imaginaire.
Lionel Bayol-Thémines, Space dominos
Cartographie de parties: du ciel profond Sources Télescope Hubble, Centre de documentation spatiale de strasbourg (CDS), Aladin Polyptyque de 16 images 100 x 70 cm format global, 400 cm x 290 cm positionné au sol.